Titre original : “Hablar de ti” paru dans l’album Pánico (2005)
Paroles retravaillées
Revoyant les photos de notre passé reviennent à moi tes sourires et tes gestes Rouvrir les souvenirs qui étaient froissés et tout ce bonheur dont ces images attestent C'était une belle époque, un beau départ, malgré l'orage qui a suivi Je sais que quelque part tout ce qu'on a vécu en un coin de la réalité survit
Non il ne faudra pas Qu'on perde tout cela Aussi fragile qu'un rêve Ce temps si joli Le défendre de l'oubli
Parce que parler de toi, c'est tout comme lire un livre obscur qui pour moi est sacré Comment avoir la foi pour trouver la voie qui mène au cœur du domaine de tous tes secrets ? Cela m'emplit de tristesse, de nostalgie – il n'y a rien à pleurer pourtant Je voudrais simplement qu'ici rien ne soit jamais effacé par le temps
Parler de toi Qu'on conserve une fois Aussi forte que brève Graver sous un coin de ciel L'évanescence éternelle
Letra
Subiendo el cerro el frío, se adueñó de mi actitud y mi gesto Cruzando mis brazos contra el pecho en la noche como un niño enfermo Despeinaba el viento tu salud y nos ladraba un perro Y todos los barcos con su luz alumbraban tu pelo
Yo solo quiero Que recuerdes eso Que fui un pasajero Allá entre tus sueños Que fui un pasajero
Porque hablar de ti, es desterrarse a los paisajes que me acuerdo Como intentar hallar la llave de tu voz en los domínios de un secreto Me está dando pena esta canción, que solo era un recuerdo De todas maneras me gustó rondar el cementerio
Te hablo de eso Te hablo de aquello Te hablo por eso Que fui un pasajero Allá entre tus sueños, ooh o Uuh
Photo d’entête : “The stolen moment” par Eleazar
