Titre original : “Volar” paru dans l’album El Día de Suerte de Juan Gómez (2014)
Voler
Letra
Volar, lo que se dice volar Volar, volar, volar, no vuelo Volar, lo que se dice volar Volar, volar, volar, no vuelo
Pero, desde que cambié el palacio por el callejón Desde que rompí todas las hojas del guión Si quieres buscarme Mira para el cielo
Pero, desde que me dejé el bolso en la estación Y le pegué fuego a la tele del salón Te prometo, hermano, que mis suelas No tocan el suelo
Solté todo lo que tenía y fui Feliz Solté las riendas y Dejé pasar No me ata nada aquí No hay nada que guardar Así que, cojo impulso y a volar
Lo que se dice volar Volar, volar, volar, no vuelo Volar, lo que se dice volar, volar Volar, volar, volar, no vuelo
Pero, desde que tiré las llaves, ya no quiero entrar Desde que quemé las naves y aprendí a nadar Si quieres buscarme Mira para el cielo
Pero, desde que olvidé el teléfono en un bar Desde que no tengo nada parecido a un plan Te prometo, hermano, que mis suelas No tocan el suelo Solté todo lo que tenía y fui Feliz
Solté las riendas y Dejé pasar No me ata nada aquí No hay nada que guardar Así que, cojo impulso y a volar A volar
Lo que se dice volar (Volar, volar, volar) Mmh-mmh, volar
Paroles adaptées
Voler, ça c'est qu'on appelle voler ! Voler, voler, voler, pourquoi pas ? Voilà, ce qu'on peut appeler voler ! Voler, voler, voler, je ne vole pas
Mais depuis que j'ai déchiré toutes les pages de mon scénario Depuis que j'ai démissionné de ma boite avec brio Pour monter au ciel Je t'offre un tutoriel
Depuis que j'ai troqué le palais pour une caravane Depuis que j'ai mis tous mes biens au fond d'une cabane Si tu veux me trouver Ton nez il faut le soulever !
J'ai mis mes peurs au feu Et je dirais que je suis heureux (Puis) j'ai lâché les rênes N'ai plus aucune peine Il n'y a rien à regretter C'est comme un long été Alors je prends de l'élan, et m'envoler
… ça c'est qu'on appelle voler ! Voler, voler, voler, pourquoi pas ? Voilà, ce qu'on peut appeler voler ! Voler, voler, voler, je ne vole pas
Mais, depuis que j'ai perdu mon téléphone (un jour) sur un banc Puisque je n'ai rien qui peut ressembler à un plan Mes semelles n'ont plus sommeil Et veillent nuit et jour sur le soleil
Depuis que j'ai viré mes comptes des réseaux sociaux Que je n'ai plus ni télé, ni Internet, ni radio Je parle avec les oiseaux De thèmes qui volent un peu plus hauts
J'ai brûlé ma carte bleue Et je dirais que je suis heureux Puis j'ai coupé mes chaînes N'ai plus aucune gêne Il n'y a rien à regretter C'est comme un long été Alors je prends de l'élan et m'envoler
Ah, ça c'est qu'on appelle voler ! (voler, voler, voler) Mmh-mmh, voler !
Planer
Variante pour éviter prêter aux doubles sens un peu faciles sur le verbe ‘voler’, entre ‘se mouvoir en l’air’ et ‘dérober quelque chose’, qui existe aussi – quoique bien plus marginalement – en espagnol.
Letra
Volar, lo que se dice volar Volar, volar, volar, no vuelo Volar, lo que se dice volar Volar, volar, volar, no vuelo
Pero, desde que cambié el palacio por el callejón Desde que rompí todas las hojas del guión Si quieres buscarme Mira para el cielo
Pero, desde que me dejé el bolso en la estación Y le pegué fuego a la tele del salón Te prometo, hermano, que mis suelas No tocan el suelo
Solté todo lo que tenía y fui Feliz Solté las riendas y Dejé pasar No me ata nada aquí No hay nada que guardar Así que, cojo impulso y a volar
Lo que se dice volar Volar, volar, volar, no vuelo Volar, lo que se dice volar, volar Volar, volar, volar, no vuelo
Pero, desde que tiré las llaves, ya no quiero entrar Desde que quemé las naves y aprendí a nadar Si quieres buscarme Mira para el cielo
Pero, desde que olvidé el teléfono en un bar Desde que no tengo nada parecido a un plan Te prometo, hermano, que mis suelas No tocan el suelo Solté todo lo que tenía y fui Feliz
Solté las riendas y Dejé pasar No me ata nada aquí No hay nada que guardar Así que, cojo impulso y a volar A volar
Lo que se dice volar (Volar, volar, volar) Mmh-mmh, volar
Paroles adaptées
Planer, ça c'est ce qu'on peut appeler planer ! Planer, planer, planer et s'échapper Et puis cesser de ramper pour planer ! Planer, planer, planer dans la paix
Car depuis que j'ai déchiré toutes les pages de mon scénario Depuis que j'ai démissionné de ma boite avec brio Pour monter au ciel Je t'offre un tutoriel
Depuis que j'ai troqué le palais pour une caravane Depuis que je laisse pourrir tous mes biens dans une cabane Si tu veux me trouver Ton nez il faut le soulever !
J'ai mis mes peurs au feu Et je dirais que je suis heureux (Puis) j'ai lâché les rênes J'n'ai plus aucune peine Il n'y a rien à regretter C'est comme un long été Alors je prends de l'élan et m'envoler
… et ça c'est ce qu'on peut appeler planer ! Planer, planer, planer et s'échapper Planer, ça c'est ce qu'on peut appeler planer ! Planer, planer, planer dans la paix
Car depuis que j'ai perdu mon téléphone (un jour) sur un banc Que je n'ai plus rien qui peut ressembler à un plan Mes semelles n'ont plus sommeil Et veillent nuit et jour sur le soleil
Depuis que j'ai viré mes comptes des réseaux sociaux Que je n'ai plus ni télé, ni Internet, ni radio Je parle avec les oiseaux De thèmes qui volent un peu plus hauts
J'ai brûlé ma carte bleue Et je dirais que je suis heureux Puis j'ai coupé mes chaînes J'n'ai plus aucune gêne Il n'y a rien à regretter C'est comme un long été Alors je prends de l'élan et m'envoler
…et ça c'est qu'on peut appeler planer ! (planer, planer, planer) Mmh-mmh, planer !
Photo d’entête : partie d’“Atacama” par Jonathan Emmanuel Flores Tarello
