Sons
Version ‘normale’ :
Version ‘chorale’ :
Texte
1. (Vivre) Comme une vague chevauchant vers la rive
S’enfle de foi et s’écrase en éclat d’écume
Mais d’écume de soie
(Vivre) Comme une blague chaque évènement qui arrive
Siffle de joie pégase sans enclos d’amertume
Plume sans poids
Suivre des mélodies ad libitum
Comme des maladies toujours sans sérum
Et qu’on apaise un peu en chantant
Qui louent le soleil fragile
Et disent « ne te couvre pas d’un fil
Tu n’en auras plus jamais autant »
Comme des maladies toujours sans sérum
Et qu’on apaise un peu en chantant
Qui louent le soleil fragile
Et disent « ne te couvre pas d’un fil
Tu n’en auras plus jamais autant »
“Refrain”
Allez, écrivons nos vies dans le sable des rêves
Et s’ils s’avèrent insaisissables n’arrimons pas pour autant nos cris dans la grève
Allez, écrivons nos vies dans le sable des rêves
Et s’ils s’avèrent insaisissables n’arrimons pas pour autant nos cris dans la grève
2. Vivre en papillon, couleurs de l’éphémère
Volant le long d’un son, et mourant dans le ciel
Battement de cil silencieux
Vivre dans le bouillon enjôleur de la mer
Dans les tourbillons et les courants démentiels
Cassant le fil, fermant les yeux
Chanter que l’hiver n’a pas à faire peur
Ayant l’heur de ne pas être à l’heure
D’aller grelotter ses regrets
Fredonner le grand luxe de n’être que bien
D’être heureux par tous les moyens
Et de s’en savoir toujours gré
Ayant l’heur de ne pas être à l’heure
D’aller grelotter ses regrets
Fredonner le grand luxe de n’être que bien
D’être heureux par tous les moyens
Et de s’en savoir toujours gré
“Refrain”
Allez, écrivons nos vies dans le sable des rêves
Et s’ils s’avèrent insaisissables, nous ouvrirons quand même la voie jusqu’à la sève
Allez, écrivons nos vies dans le sable des rêves
Et s’ils s’avèrent insaisissables, nous ouvrirons quand même la voie jusqu’à la sève
3. Mais vivre, vivre, vivre, vivre un peu plus vivants !
Vivre, vivre, vivre, vivre un peu plus souvent !
Suivre des chemins aux parfums d’aventure
S’engouffrer sans frein à la moindre ouverture
Cesser de faire les cents pas (Dans une vie une sympa mais sans plus)
Prendre la route en perdant la raison
Dans le doute qu’au loin dans l’horizon
Elle ne vous attende pas / On ne la retrouve pas
S’engouffrer sans frein à la moindre ouverture
Cesser de faire les cents pas (Dans une vie une sympa mais sans plus)
Prendre la route en perdant la raison
Dans le doute qu’au loin dans l’horizon
Elle ne vous attende pas / On ne la retrouve pas
“Refrain” final
Allez, volons, il est bien temps qu’on s’élève
Et si le soleil nous brûle les ailes, autant d’autres prendront la relève
Allez, volons, il est bien temps qu’on s’élève
Et si le soleil nous brûle les ailes, autant d’autres prendront la relève
Construction
1, 2, 3.
Instruments
- Voix
- Guitare
- Contrebasse
- Batterie
Sur scène
Rien de particulier.
Photo : “” d’Atelophobia – Nicola Bortoli.
