« Les gens qui viennent à la porte de ce ministère avec une sébile dans une main et un cocktail Molotov devront choisir », prévenait à raison Maurice Druon. Au lieu de pleurnicher contre les risques d’un art officiel, les artistes devraient mobiliser leur créativité pour apprendre à se passer de l’argent politique, cet argent sale, histoire d’être libres, responsables et dignes de se dire de vrais contestataires, s’ils le veulent.
La subversion subventionnée, mon cul !
Photo d’entête : “L’Absurde Séance (19) – Sexy International Paris Film Festival #2 – 24-27Jun10, Paris (France)” par philippe leroyer

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