C’est à certains moment que je me faisais la réflexion que je trouvais que peu de femmes savaient écrire de bons romans, ce qui ne m’arrivait ni pour les essais, ni pour la poésie, et si on sort des arts scripturaux ni en art en généra où on ne trouve aucune différence entre hommes et femmes. Et surtout pas en musique. Sans avoir la réponse à cette énigme et loin de moi de distinguer les femmes1, je me faisais cette petite liste de compositrices francophones comme Raphaelle Lannadère, Marguerite, Luciole, Camille Hardouin, Claire Diterzi, Anaïs (Croze), Camille, Emily Loizeau, Zaz, Chris(tine and the Queens), Jeanne Cherhal, Carmen Maria (Ultra) Vega, Anne Sylvestre, Marguerite ou Clarika qui le font chanter2. Si bien que le français m’autorise (si, si !) à les en remercier en son nom !
Notes
- Quand on commence à faire des quotas, à regarder les sexes et les couleurs de peaux, l’art n’est plus que sociologie et, ne visant plus à l’universel, il n’a plus rien qui nous rapproche de ce que nous avons de plus humains, voire du divin. ↩︎
- Sans évoquer Amélie-les-Crayons. ↩︎
Photo d’entête : “AKB48_Project” par Lonely_Freak.
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